On a tous des rêves, des idéaux de bien-être, les contours de sa best life…Si on souhaite passer du rêve à un objectif atteint, d’idéal au concret il sera utile d’accepter ses 8 choses :

Accepter de ne plus se trouver des excuses

C’est pas ma faute ! C’est la faute du patron, du collègue, du compagnon, des enfants, du manque de temps, de la météo, de l’éducation reçue ou la faute à pas de chance.

« Les gagnants trouvent des moyens, les perdants des excuses. » F D.Roosevelt

D’autres ont aussi des enfants, des collègues, des amis qui déménagent, des parents âgés, et pourtant ça ne les empêchent pas d’accomplir ce qu’ils on en tête.

Pour prendre son bien-être, sa réalisation, son bonheur, sa réussite en main, il faut déjà en prendre la responsabilité.

Prendre la responsabilité de son bien –être, c’est en prendre la responsabilité malgré la situation de départ et malgré les circonstances. Suivant les cas c’est accepter de se faire accompagner pour que certaines données du passé n’aient plus autant de poids. C’est de se dire les circonstances sont un décor et n’ont pas le rôle principal. Et si les circonstances sont à ce point catastrophiques, quel est le plus petit pas que je suis en mesure de faire aujourd’hui ?

Accepter que cela ne soit pas parfait

Tu te connais maintenant…ça ne saura jamais assez parfait ! Heureusement, on pourra toujours s’en approcher… Tu connais l’expression fait est mieux que parfait.

Attendre que cela soit parfait c’est attendre indéfiniment. S’il y a bien une chose dont on peut être sûr c’est l’impermanence, l’évolution et les imprévus. Un des paramètres n’est peut-être pas parfait mais tu n’as absolument pas la garantie qu’en attendant une semaine de plus, d’avoir fini tel livre, d’avoir perdu 5kg, ou que sais-je que les autres paramètres soient aussi favorables.

C’est à toi de choisir d’y aller même si ce n’est pas parfait.

Accepter de ressentir de la peur

Les personnes qui avancent vers leurs rêves, leurs objectifs ne sont pas des super héros qui ne ressentent pas de peur. Ce sont des personnes comme toi et moi qui ressentent des émotions dont la peur et qui choisissent malgré cette peur d’avancer.

Et c’est en avançant que la peur disparaît. Je suis sûre que ça t’es déjà arrivé par le passé de ressentir de la peur face à un évènement prévu (une prise de parole en public, un examen, un saut en parachute, un examen médical, une discussion avec le boss…).et puis une fois l’évènement passé de te dire « oh ben ce n’était pas si terrible que ça en fait ».

Elle est utile parfois. Heureusement qu’elle est là dans certaines situations. La peur c’est un indicateur, un voyant sur un tableau de bord. C’est à toi de « challenger » le voyant en te questionnant et en ramenant de la clarté. «au pire qu’est-ce qu’il se passera si je fais ça ? Est-ce que je me mets en situation de danger ? Est-ce que je risque d’être blessée ? morte ? Est-ce que cela peut porter un préjudice à moi, à quelqu’un d’autre ? etc… En répondant avec sincérité à ces questions, il se peut que le voyant s’éteigne.

Accepter de ne pas tout contrôler

Ce fâmeux lâcher prise qu’on entend de partout….

Il y a des choses que l’on peut contrôler et d’autres qui sont totalement hors de notre contrôle.

On fait de son mieux pour les choses sur lesquelles on peut agir et c’est tout. Le reste ne dépend pas de nous, et il faut accepter que même si on a fait « notre part du contrat ( du contrôle) » on ne peut pas faire plus. Au début, intégrer le lâcher prise c’est accueillir l’inconfort que cela procure de ne pas savoir si les éléments hors de notre contrôle seront en notre faveur ou pas. Et plus on est habitué à lâcher prise plus l’inconfort laisse place a de la confiance ou du calme.

Accepter que le changement prenne du temps

Je suis une potterhead, j’aime les histoires empreintes de magie, j’aime la magie de la vie, la magie ou l’âme agit.

Dans le monde moldu, les changements ne se font pas d’un coup de baguette magique, les nouvelles habitudes qu’on instaure, les nouveaux comportements qu’on adopte, les projets qui se concrétisent ne sont pas le résultat d’un claquement de doigt.

Il a fallu faire des choix, s’engager, dealer avec les doutes, les inquiétudes, le découragement et parfois la peur. Il a fallu passer à l’action, réajuster, et continuer à passer à l’action, encore.

Dans une société de consommation où tout est à portée de clic, cela peut être frustrant de fournir des efforts et de l’énergie sur la durée avant de profiter du résultat. Ce que l’on peut voir sur les réseaux sociaux où l’on ne montre que les paillettes n’aide pas forcément.

Prenons l’exemple d’une personne qui n’a pas de pratique sportive régulière et qui a pour objectif de courir un semi-marathon dans 6 mois. Elle fait sa course, passe la ligne d’arrivée avec un assez bon temps. La plupart des gens ne voient que ça, elle a passé la ligne d’arrivée avec un bon temps, d’autres voient tout ce par quoi elle est passé pour en arriver là (les entrainements, l’alimentation, travailler sur son mindset, bousculer son organisation habituelle, les éventuelles blessures, etc…).

Accepter de changer d’état d’esprit

Nous avons tous en nous un mélange de traits de caractère, d’apprentissage, de pensées, croyances, de constructions mentales. Il est nécessaire pour évoluer de faire évoluer tout cela. Il est parfois nécessaire de remettre en questions nos schémas, nos croyances, nos acquis, nos connaissances. Il est parfois indispensable de tout déconstruire et de reconstruire du nouveau.

S’ouvrir, s’inspirer et apprendre en continu.

Accepter de prendre de la distance avec les personnes qui vous tirent vers le bas

Est-ce que j’ai vraiment besoin de vous décrire ces personnes ?

Pessimistes, négatives, qui se plaignent à longueur de journée, qui critiquent, … bref ces personnes qui vous pompent toute votre énergie.

Cela vaut aussi pour le contenu que vous consommez (réseaux, télé, etc…). Choisissez avec discernement et faites du tri s’il le faut.

Accepter de ne plus dire oui (quand tu penses non)

Pour certaines personnes il est difficile de dire non, pour tout un tas de raison. Elles ont cette habitude de dire oui (même quand elles pensent non), même en sachant que cela leur coûtera en temps et en énergie. Dans certains cas dire non à l’autre, c’est dire oui à soi, à son bien-être, à ses projets.

Je pense qu’on a tous eu à faire à un moment ou à un autre à chacune de ces 8 choses, parfois même plusieurs en même temps. C’est un apprentissage constant et dans certaines situations ce n’est pas si évident. C’est un cheminement.